« Sarah ma belle-cousine », roman d’Henri Djombo a été retenu au programme éducatif au titre de l’année scolaire 2024-2025, précisément en terminale littéraire, en remplacement de « Le pleurer-rire » d’Henri Lopes. Par ailleurs, « Fils de prélat » de l’écrivain camerounais Armand Claude Abanda, prend la place des « Chroniques congolaises » de Jean-Baptiste Tati Loutard en seconde littéraire et scientifique.
Les conférences de vulgarisation de ces ouvrages dans les établissements scolaires ont suivi ces annonces jusqu’à ce que, le 24 octobre courant, une circulaire du ministre de l’Enseignement préscolaire, primaire, secondaire et de l’Alphabétisation renvoie leur concrétisation à plus tard.
La circulaire souligne que ces œuvres littéraires consacrées à l’enseignement du français au lycée, sont indisponibles sur le marché congolais du livre. D’où la décision du département ministériel reprogramme les supports pédagogiques utilisés l’année passée.
« Sarah ma belle-cousine » et « Fils de prélat » attendront donc que la commission qui avait validé, un peu trop hâtivement, leur intégration au programme, composée entre autres des professionnels du livre dont les éditeurs, créent les conditions de leur disponibilité sur le marché. Peut-être pour l’année scolaire 2025-2026.