La structure panafricaine spécialisée dans le domaine de l’habitat et du crédit logement, a lancé, le 6 juillet, ses activités au Congo où elle entend offrir aux futurs acquéreurs de terrains, de nouvelles modalités pour disposer d’un lopin de terre.
« Notre société est là pour apporter sa pierre à l’édifice du développement du Congo. Aujourd’hui, Capital Immobilier apporte aux Congolais une nouvelle vision et conception de la propriété immobilière », a indiqué son vice-président, Vincent De Paul Kaboré, au cours d’une conférence de presse.
La société qui se fixe comme objectif de faciliter l’accès à une propriété, vise à garantir et accompagner les citoyens dans leurs projets immobiliers sans impacter leurs revenus.
Disposant d'un capital d’un milliard de franc CFA, la société Capital Immobilier est présente dans plusieurs pays africains, notamment au Burkina Faso, au Cameroun et au Sénégal où elle a déjà fait ses preuves en la matière.
En République du Congo, la société, dit avoir déjà acquis des terrains immatriculés dans certaines localités où elle envisage de les mettre par la suite au service des demandeurs qui devraient à leur tour épargner au fur et à mesure un montant donné, jusqu’à détenir définitivement le terrain.
« Nous sommes une société de droit congolais qui s‘adapte aux exigences de l’administration locale puisque nous travaillons non seulement avec les architectes, les juristes et les géomètres, mais aussi en conformité avec les lois en vigueur du pays », a-t-il précisé, ajoutant que « Notre méthode de travail consiste à aider les citoyens, quelle que soit leur couche sociale à acquérir des parcelles en investissant par mois ou par trimestre, une somme donnée ».
Le but, a-t-il précisé, est de mettre fin aux conflits terriens et les ventes illicites.
S’agissant des modalités d’obtention, Capital Immobilier dispose d’une assiette foncière garnie capable de répondre aux besoins de ses différents clients. Elle garantit par ailleurs l’acquisition ainsi que la construction des immobiliers.
En vue de résoudre la question liée aux catastrophes naturels du genre érosions et glissements de terrains, le chef d’agence de Brazzaville, Giress-Gilberto Makanga Phoba, a indiqué que tous les moyens et conditions sont réunis.