Trois hectares de terres émergées sur quatre sont altérés par les activités humaines et la cause serait la déforestation ainsi que l'agriculture intensive.
La conséquence est la détérioration de la qualité des terres, ce qui empêche l'eau de pénétrer l'humus et s'assèche. C'est qui appauvrit la diversité de la microfaune du sol, par la diminution de la fertilité du champ. Petit à petit, la terre devient désertique et donc impossible à cultiver.
Ce phénomène menace la sécurité alimentaire mondiale. Pour le contrer, les représentants des cent quatre-vingt-seize pays présents à la Cop14 doivent s'accorder sur une stratégie et des objectifs communs, notamment celui de la "neutralité de dégradation des terres".
La priorité étant le passage d'une utilisation prédatrice des biotopes à une utilisation résiliente. Selon l’ONU, quelque dix millions d’hectares supplémentaires sont chaque année concernés par la désertification.