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Projet hydroélectrique de Chollet : la sous-commission technique planche sur les dossiers des soumissionnaires

L’étape de sélection du partenaire pour la réalisation des études, la construction et l’exploitation en mode « Build Operate and Transfer » de l’aménagement hydroélectrique de Chollet et des lignes électriques associées a débuté à Brazzaville, le 1er octobre, dans la salle de réunion du ministère de l’Energie et de l’hydraulique, avec le dépouillement des dossiers des entreprises postulantes.

Ce processus se déroule en toute transparence en lien avec les termes de références établis par les gouvernements camerounais et congolais.

La sous-commission d’analyse des offres des entreprises soumissionnaires travaille d’arrache-pied pour que le processus de sélection du partenaire aboutisse dans le délai.

En effet, lors de la brève cérémonie d’ouverture des dossiers des candidats, le mardi dernier, quatre entreprises sur les cinq soumissionnaires étaient représentées et les délégués des deux pays bénéficiaires étaient présents. D’après le directeur du projet Chollet, Richard Balla, cette mobilisation traduit la volonté des deux États à réaliser ce projet intégrateur.

Les normes internationales en matière d’appel d’offres ont été respectées, a poursuivi Richard Balla, car un avis à manifestation d’intérêt a été lancé aussi bien au Cameroun qu’au Congo, par le biais des journaux officiels des deux pays et des missions diplomatiques.

« La clôture du dépôt des offres, le 30 septembre, est conforme aux dispositions de l’avis à manifestation et les offres ont été déposées dans le délai. L’ouverture des dossiers s’est déroulée en présence des représentants des entreprises pour permettre à chacun de constater la conformité des dossiers déposés (…) À tous les niveaux, nous allons travailler la main dans la main pour matérialiser la volonté de nos deux chefs d’Etat, Denis Sassou N’Guesso et Paul Biya », a indiqué le directeur projet Congo/Cameroun.

Après la cérémonie d’ouverture des plis, la sous-commission va s’atteler à l’examen des candidatures, des sociétés Sinohydro, CGGC, CWE et SN Power.

Dès décembre prochain, la commission entend lancer l’appel d’offres international restreint qui est la deuxième étape la plus importante, permettant de retenir le partenaire qui aura le mieux répondu à tous les critères de sélection.

Le projet Chollet, objet de la présente procédure, a une vocation intégratrice au sein de l’Afrique centrale. L’aménagement hydroélectrique de Chollet sera doté d’une puissance installée d’environ six cents mégawats. Celui-ci aura un impact socio-économique non indéniable sur les économies de la sous-région, sur la population riveraine, en ce qui concerne l’accès à l’électricité, l’amélioration de ses conditions de vie.

À noter que le projet compte insérer dans les études les extensions des réseaux électriques vers la République Centrafricaine et le Gabon. Le projet d’interconnexion avec le Tchad, à partir du Cameroun, est en cours d’étude. La République du Congo et la République démocratique du Congo étant déjà interconnectées, toute la sous-région le sera quasiment. 

Projet hydroélectrique de Chollet : la sous-commission technique planche sur les dossiers des soumissionnaires

L’étape de sélection du partenaire pour la réalisation des études, la construction et l’exploitation en mode « Build Operate and Transfer » de l’aménagement hydroélectrique de Chollet et des lignes électriques associées a débuté à Brazzaville, le 1er octobre, dans la salle de réunion du ministère de l’Energie et de l’hydraulique, avec le dépouillement des dossiers des entreprises postulantes.

Ce processus se déroule en toute transparence en lien avec les termes de références établis par les gouvernements camerounais et congolais.

La sous-commission d’analyse des offres des entreprises soumissionnaires travaille d’arrache-pied pour que le processus de sélection du partenaire aboutisse dans le délai.

En effet, lors de la brève cérémonie d’ouverture des dossiers des candidats, le mardi dernier, quatre entreprises sur les cinq soumissionnaires étaient représentées et les délégués des deux pays bénéficiaires étaient présents. D’après le directeur du projet Chollet, Richard Balla, cette mobilisation traduit la volonté des deux États à réaliser ce projet intégrateur.

Les normes internationales en matière d’appel d’offres ont été respectées, a poursuivi Richard Balla, car un avis à manifestation d’intérêt a été lancé aussi bien au Cameroun qu’au Congo, par le biais des journaux officiels des deux pays et des missions diplomatiques.

« La clôture du dépôt des offres, le 30 septembre, est conforme aux dispositions de l’avis à manifestation et les offres ont été déposées dans le délai. L’ouverture des dossiers s’est déroulée en présence des représentants des entreprises pour permettre à chacun de constater la conformité des dossiers déposés (…) À tous les niveaux, nous allons travailler la main dans la main pour matérialiser la volonté de nos deux chefs d’Etat, Denis Sassou N’Guesso et Paul Biya », a indiqué le directeur projet Congo/Cameroun.

Après la cérémonie d’ouverture des plis, la sous-commission va s’atteler à l’examen des candidatures, des sociétés Sinohydro, CGGC, CWE et SN Power.

Dès décembre prochain, la commission entend lancer l’appel d’offres international restreint qui est la deuxième étape la plus importante, permettant de retenir le partenaire qui aura le mieux répondu à tous les critères de sélection.

Le projet Chollet, objet de la présente procédure, a une vocation intégratrice au sein de l’Afrique centrale. L’aménagement hydroélectrique de Chollet sera doté d’une puissance installée d’environ six cents mégawats. Celui-ci aura un impact socio-économique non indéniable sur les économies de la sous-région, sur la population riveraine, en ce qui concerne l’accès à l’électricité, l’amélioration de ses conditions de vie.

À noter que le projet compte insérer dans les études les extensions des réseaux électriques vers la République Centrafricaine et le Gabon. Le projet d’interconnexion avec le Tchad, à partir du Cameroun, est en cours d’étude. La République du Congo et la République démocratique du Congo étant déjà interconnectées, toute la sous-région le sera quasiment. 

 

Fiacre
Vendredi, Octobre 4, 2019 - 14:00
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