Cette année, la célébration de la Journée mondiale de l’environnement n’était pas comme les autres. Des chefs de gouvernement, des scientifiques, des célébrités et bien d’autres personnalités encore se sont réunis pour une célébration et un débat virtuels, organisés par le gouvernement colombien mettant en lumière les problèmes environnementaux complexes auxquels notre planète est confrontée. En regardant le monde qui nous entoure, il est évident que maintenant, plus que jamais, nous devons agir pour protéger la planète.
La Journée mondiale de l’environnement met en lumière l’importance de la nature pour nos moyens de subsistance. Depuis 1974, elle est célébrée chaque année le 5 juin : elle incite les gouvernements, les entreprises, les célébrités et les citoyens à concentrer leurs efforts sur les questions environnementales urgentes.
C’est à ce titre que l’instance dirigeante du football, la FIFA, n’a pas voulu rester en marge et s’est engagée à protéger l’environnement, sa biodiversité et le climat, contribuant ainsi de manière tangible aux Objectifs de développement durable des Nations unies. Dans le cadre de cet engagement, la FIFA a promis de réduire sa consommation de ressources ainsi que consolider et améliorer encore sa gestion des risques, des obligations et des opportunités liées à l’environnement dans le but d’atténuer tout impact négatif sur l’environnement.
Au cours de la dernière décennie, la FIFA n’a cessé d’accroître ses exigences et d’élargir ses programmes liés à la protection de l’environnement, couvrant des questions telles que le changement climatique, la gestion des déchets, le recyclage et la construction durable.
En 2016, la FIFA a rejoint l'initiative du secrétariat des Nations unies pour le changement climatique « Climate Neutral Now », devenant ainsi la première organisation sportive internationale à le faire. En se joignant à la campagne, la FIFA s’est engagée à poursuivre ses efforts pour devenir neutre en termes d’émissions de gaz à effet de serre d’ici le milieu du 21e siècle. La FIFA a mesuré et compensé les inévitables émissions de gaz à effet de serre liées aux Coupes du monde de la FIFA au Brésil et en Russie. Ces actions en faveur du climat se poursuivront également pour la Coupe du monde de la FIFA, Qatar 2022.