Près de dix mois se sont écoulés depuis l’ouverture de la saison régulière de la NBA, le 22 octobre 2019. A présent place aux playoffs, où pendant deux mois les 16 meilleures équipes de la saison régulière vont s’affronter pour couronner le champion de l’année.
Nos habituelles stars africaines qui illuminent les parquets de la NBA depuis des années sont bien entendu au rendez-vous, à l’instar du Congolais Serge Ibaka et du Camerounais Pascal Siakam, avec l’équipe des Raptors de Toronto qui sont en course pour défendre leur titre acquis l’an dernier.
Lors des deux premiers matchs de la série face aux Nets de Brooklyn, les Raptors n’ont eu aucun problème pour l’emporter et mènent ainsi la série par deux victoires à zéro. Lors du premier match remporté 134 – 110 par la franchise canadienne, Serge Ibaka a inscrit 22 points et pris 7 rebonds. Quant à Pascal Siakam, il a compilé 18 points et 11 rebonds. Pour le second match de la série, Ibaka a enregistré 8 points et 6 rebonds. Le Camerounais a, quant à lui, marqué 19 points et pris 6 rebonds pour voir les Raptors l’emporter 104 - 99.
Orlando surprend les Bucks de Giannis
Les playoffs commencent mal pour la star d’origine nigériane, Giannis Antetokounmpo, battue d’entrée avec son équipe des Bucks de Milwaukee par les surprenants Magic d’Orlando. Il faut dire que Milwaukee fait partie des deux ou trois équipes qui sont favorites pour être couronnées championnes en fin de saison. Si bien que cette défaite du champion de la conférence Est, fait tache, malgré l’excellente performance de Giannis qui a rendu une fiche de 31 points, 17 rebonds et 7 passes.
Joel Embiid dans le dur face à Boston
Après le premier match perdu par les Sixers de Philadelphie face aux Celtics de Boston, dans les dernières minutes, la star Camerounaise des Sixers, Joel Embiid, auteur de 26 points, déclarait qu’il devait avoir plus d’impact pour que son équipe remporte cette série. Le pivot avait très bien démarré la rencontre avec 11 points à 5/5 dans les premières minutes, puis la suite a été moins brillante, moins servi et plus en difficulté sur les prises à deux. Le succès des Sixers passe obligatoirement par un Joel Embiid dominateur et qui prend plus de 15 tirs.