Politique internationale : la DARN réaffirme son soutien au chef de l’Etat

Lundi, Octobre 11, 2021 - 17:25

Dans un message de soutien rendu public le 9 octobre à Brazzaville, la Dynamique amour et rêves de Nyanga (DARN) a condamné ce qu’elle appelle « la cabale médiatique » qui s’abat sur le président de la République, Denis Sassou N’Guesso.

Réunis au cours d’une rencontre citoyenne placée sous le signe des valeurs socioculturelles, les membres de la DARN ont témoigné leur soutien au premier citoyen congolais dont ils estiment que « l’honorabilité a été sérieusement entachée par des forces extérieures pour des raisons obscures ».

« Le président Denis Sassou N’Guesso étant la figure et l’image de la République, attaquer sa réputation revient à écorcher la mère-patrie et fouler au sol l’image de la République, la nation entière devrait s’en émouvoir, car il s’agit d’une question de fierté nationale », a justifié le président de la DARN, Rytchie Ngodjo-Louvosso.

Selon lui, la DARN se réserve, dans cette optique, le droit de s’offusquer et de condamner cette cabale médiatique. Se fondant sur la liberté d’expression garantie par la Constitution et les autres lois en vigueur dans le pays, cette association rejette « avec la dernière énergie toutes les accusations fabuleuses et farfelues portées sur l’image de la nation ».

Elle reconnaît, par ailleurs, l’immensité des œuvres de transformation positive du pays grâce à la vision du chef de l’Etat. « Denis Sassou N’Guesso est le président élu du Congo, celui qui incarne la souveraineté et la protection de la nation congolaise. Son image, par ricochet celle de la nation, mérite d’être défendue par les moyens et l’action civique. C’est pourquoi, la DARN, fidèle à la vision du président de la République, appelle des voix dynamiques du pays à faire un bloc de solidarité autour de notre président, car nous n’avons qu’un seul pays, une seule nation et un seul président honorable et juste », a conclu le message.

Avant la réaction de cette organisation de la société civile, la présidence de la République avait, dans un communiqué de presse, réfuté « catégoriquement et de manière ferme et rigoureuse les graves accusations » portées à l’encontre du chef de l’Etat, dans le cadre de l’enquête dite de « Pandora Papers ». En effet, cette enquête du consortium international des journalistes d’investigation dévoilait des « montages » financiers à des fins d’évasion fiscale ou de blanchiment, via des sociétés offshores, impliquant des chefs d’Etat africains.

Parfait Wilfried Douniama
Légendes et crédits photo : 
Les participants à la rencontre citoyenne du 9 octobre/Adiac
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