Le ministre de l’Energie et de l’Hydraulique, Honoré Sayi, s’est entretenu le 24 février à Brazzaville avec les directeurs généraux des unités de production d’eau sur des questions liées aux exigences de qualité des produits fournis sur le marché.
La rencontre avec le ministre a connu la participation des directeurs généraux des sociétés Vival, Globaline, Mayo, Cristal et Ragec. Au centre des discussions, le respect des normes de production, le contrôle de qualité d’eau, les exigences de traitement d’eau, etc.
A l’issue de la rencontre, les unités de production ont été invitées à fournir certains éléments attestant du contrôle et de la qualité d’eau mise à la disposition des consommateurs. Ces sociétés devront avoir des agréments donnés par le ministère, fournir des éléments techniques des forages et d’analyse, la profondeur des forages ; préciser le point de captage d’eau, disposer des laboratoires, mettre à la disposition du ministère des analyses physico-chimiques et bactériologiques pour publication et la visibilité auprès du grand public.
« Lors de cet entretien avec le ministre, nous avons été interpellés sur la qualité d’eau que nous mettons à la consommation des Congolais. Un certain nombre d’éléments à fournir nous a été demandé afin que le ministère puisse juger si la qualité de l’eau fournie est bonne ou pas. Aussi, une équipe circulera dans les entreprises pour voir si ces conditions sont fournies et réunies », a indiqué Clément Tsana, directeur général adjoint de la société Globaline.
Notons que d’ici à fin mars, toutes ces mesures seront mises en application.