Sur invitation de Jean Bastien Makoundou, président de la Commission de contrôle et d’évaluation du Parti congolais du travail (PCT) France, d’une manière élargie, les militants de cette formation politique se sont retrouvés à Paris pour une séance de travail.
À la mi-journée du 9 avril, dans un restaurant parisien, les membres de la commission ad hoc en présence de la presse ont planché sur l’actualité concernant la vie de leur Fédération.
Les discussions ont spécialement porté sur l’absence du cadre juridique et de la feuille de route, et d’un compte-rendu de cette séance de travail à propos de la commission ad hoc depuis sa mise en place, le 23 février dernier, par le secrétaire général du parti.
Ce déjeuner de travail est une première analyse pour la sérénité des réponses et propositions à apporter, ont estimé les participants. « Ce sont de tels moments qui permettent la cohésion et un échange productif au sein de notre Fédération devenue depuis peu Commission ad hoc », a confié Bastien Makoundou, heureux d’être à cette initiative.
Autour des questions de la prochaine structuration de la Commission ad hoc, cette rencontre a permis également la recherche des voies et moyens de promouvoir le vivre-ensemble et l’esprit de partage à entretenir au sein de la vie du PCT.
« Par une telle initiative, nous mesurons la valeur et l’importance du travail que nous allons entreprendre ensemble en suivant les directives du secrétaire général, Pierre Moussa », ont estimé les militants.
Après des échanges fructueux et constructifs, ils ont formulé des exigences pour la tenue d’une concertation relative à la mise en place d’une commission ad hoc structurée. Car, l’objectif des participants est de rassembler tous les membres sans exclusive, ramener tous les militants dans le giron en dépassant les clivages, prônent-ils.