Cadres et militants du Parti congolais du travail (PCT) de France se sont retrouvés dans un cadre convivial pour échanger, dialoguer et partager la nouvelle vision de leur fédération, prélude à la restructuration.
Initialement prévue le 4 juin dernier, la rencontre a finalement eu lieu le 9 juillet, suite à une initiative conjointe faite aux membres du parti par Jean Bastien Makoundou, président de la commission fédérale de contrôle et d’évaluation, et par Alain Poaty, secrétaire fédéral chargé de l’organisation du PCT France.
Plusieurs militants et cadres ont participé à ce déjeuner, parmi lesquels Ludovic Kokolo, secrétaire fédéral chargé des droits humains ; Guy Taty, directeur du protocole de la Fédération; Roseline Morelli et Olga Ipemba, membres de l’association "Les amis d’Auguste" ; Brigitte Enkoura ; Marie-France Edzoutsa ; Alain Ippet ; Vanessa Milandou venue de la Belgique, présidente de l’association "Aider sans rien attendre en retour" ; et Franck Gandziri, président du comité PCT Ile-de-France.
Selon les organisateurs, ce déjeuner de travail s’inscrivait dans le cadre de l’exécution des directives et recommandations du secrétaire général du PCT, Pierre Moussa, visant la cohésion et l’unité du parti en France et afin d’impulser la volonté de transcender les divisons qui minent la commission ad hoc en raison de l’absence d’un cadre juridique.
Les participants rassemblés à cette occasion ont unanimement convenu de privilégier le dialogue dans le respect des statuts et des textes règlementaires. « C’est là tout le sens donné à ces rencontres militantes permettant de réfléchir sur le vivre ensemble, la cohésion et la redynamisation du parti après une crise majeure qu’a connue la fédération », ont confié les organisateurs, soucieux de porter une nouvelle vision de la Fédération PCT France en vue de la mise en œuvre du projet de société du chef de l’Etat, Denis Sassou N’Guesso, « Ensemble, poursuivons la marche vers le développement ».
Les cadres et militants de la Fédération de France ont conclu ce déjeuner de travail en réitérant leur soutien aux candidats du PCT aux élections locales et législatives en vue d’obtenir une majorité à l’Assemblée nationale.