Clôture du Fima : des moments forts de musique, d’émotions et de joie partagés avec le public et les artistes.

Lundi, Septembre 5, 2022 - 16:45

~~Ainsi, la 9e édition du Festival international de musique et des Arts a pris fin en apothéose, le 5 septembre  avec plusieurs prestations de qualité. Le terminus du quartier Makayabou, choisis comme lieu du festival  a eu du mal à contenir tous les convives.

Des chaises supplémentaires ont dû être placées sur les côtés latéraux. Mieux encore, certaines personnes ont préféré occuper carrément les travées pour suivre les concerts. C’est dire que le programme concocté était à la hauteur des attentes du public.
Pendant deux heures – alors qu’initialement le timing de l’artiste était fixé à une heure – l’artiste a ravi l’assistance par le répertoire concocté à cette occasion. De sa voix prenante et magnifique à la fois, il interprétera de l’andalou avec la nouba Dil, du melhoun et des chansons religieuses. Parmi les titres magistralement interprétés, citons, entre autres, Hada Rouzyel, Ya chems el achia, Lalla Malika, Ya’l Zin el fassi, El kaoui, Sidi boumédienne, El fachia, Ya dou ayani.
A chacune de ses chansons, des applaudissements et des youyous nourris résonnaient dans la salle. A la fin de son tour de chant, les mélomanes se sont levés pour saluer cet artiste hors pair, qui continue, après cinquante ans de carrière, de bercer encore des générations entières. La deuxième partie de la soirée s’est caractérisée par le passage sur scène de l’ensemble égyptien Takht All Turath Al Arabi, sous la houlette du chef d’orchestre, Yasser Moawad
Les onze musiciens ont présenté un florilège de chansons issues du patrimoine culturel classique égyptien, telles que El Ayem, Ma el Kamar, ou encore La aanesk, tout en ne manquant pas de rendre un hommage à l’Algérie, en interprétant son hymne national.
L’ensemble égyptien a également rendu un vibrant hommage à la grande figure de la Révolution algérienne, Djamila Bouhired, qui était présente dans la salle. L’auteur-compositeur et poète algérien, Fouad Ouamane, a interprété un des poèmes du poète syrien Nizar Kebbani, dédié à la grande dame, Djamila Bouhired, symbole de la Bataille d’Alger.
La moudjahida s’est vu remettre, par le commissaire du festival de la musique andalouse et des musiques anciennes, le trophée du festival, un diplôme honorifique et un bouquet de fleurs. La cérémonie s’est clôturée tardivement, plus exactement à 2h, avec un concert démonstratif de la master class, qui s’est déroulée du 21 au 24 décembre en marge du festival.
Un imposant ensemble de 36 jeunes musiciens a subjugué l’assistance en présentant un travail orchestré complet. Ces graines de stars, venues d’associations musicales andalouses des quatre coins du pays, ont présenté une pièce musicale intitulée Mon étoile, signée par le musicien Khalil Baba Ahmed. Une pièce musicale composée de plusieurs mouvements musicaux oscillant entre l’andalou et le malouf en passant par la musique classique et orientale.
Cet orchestre naissant a relevé le défi en travaillant en session instrumentale traditionnelle. Le musicien, Khalil Baba Ahmed, a tenu à nous préciser en aparté qu’il espère revoir et retravailler avec ces jeunes. «Nous voyons, dit-il, des jeunes qui aiment leur culture. Ils sont contents d’être ensemble.
C’est cela l’image qu’on essaye de montrer. Le vivre-ensemble, c’est d’être fier d’apporter sa petite touche locale pour construire un tout fort et puissant.
A côté de cela, il y a un côté pédagogique et de recherche scientifique. Nous avons de la matière neutre et vivante. Personnellement, ce genre d’expérience me permet de tirer certaines conclusions pour mener plus tard des projets plus construits, surtout par rapport à notre patrimoine musical.»

 

Toujours fidèle à sa mission, celle de célébrer la musique en toute diversité, c’est à travers les talents locaux et une scénographie mettant en valeur le quartier Makayabou, que le Fima a réussi un tour de force à la hauteur de sa programmation reconnue comme audacieuse sa 9e édition.
Avec l’aménagement d’un podium, érigé place terminus quartier Makayabou, l’ambition était d’offrir une expérience unique et chaleureuse aux festivaliers. De la musique universelle de Ilam aux rythmes exaltants de Teke::Teke en passant par les airs contagieux de Bleu Jeans Bleu jusqu’aux sonorités africaines et métissées de Sarahmée, cette édition n’aura laissé personne indifférent.
Pendant près d’une semaine, Pointe-Noire a vibré au rythme du Fima, Musique, théâtre, danse, arts de rue était au rendez-vous. Il y en a eu pour tous les goûts et pour tous les âges.
A vivre en famille ou entre amis, ce festival est chaque fois l’occasion de vivre des instants forts lors desquels se retrouvent touristes et ponténégrins. Ces grands moments se sont déroulés en extérieur et ont permis aux festivaliers de vivre un événement incontournable à l’air libre.
En effet, le Fima célèbre la musique dans toute sa diversité, de la pop à la musique électronique, en passant par le rap, la musique classique et le jazz. La 33è édition du Festival international de musique de Dinard a pris fin après une semaine intense et ensoleillée !
Des moments forts de musique, d’émotions et de joie partagés avec le public et les artistes.
Merci à toutes et tous pour votre présence et votre qualité d’écoute !
Le Festival vous donne rendez-vous en 2023 pour sa 34è édition et pour le 3è Concours international pour les pianistes amateurs.
Avec joie et impatience de vous retrouver l’été prochain à Dinard !
Un défilé de mode qui se regarde et s’écoute, en écho au Festival international de musique et des Arts.
Ce défilé, dans lequel se côtoient véritables matière, invite à une découverte de l’histoire des tenues vestimentaires. Des chemises extraordinaires ont étonné les visiteurs de tous âges.
L’ensemble des tissus, matériels, outils ou pièces de fabrication, ont été gracieusement mis à la disposition du créateur.

 

master class, qui s’est déroulée du 21 au 24 décembre en marge du festival.
Un imposant ensemble de 36 jeunes musiciens a subjugué l’assistance en présentant un travail orchestré complet. Ces graines de stars, venues d’associations musicales andalouses des quatre coins du pays, ont présenté une pièce musicale intitulée Mon étoile, signée par le musicien Khalil Baba Ahmed. Une pièce musicale composée de plusieurs mouvements musicaux oscillant entre l’andalou et le malouf en passant par la musique classique et orientale.
Cet orchestre naissant a relevé le défi en travaillant en session instrumentale traditionnelle. Le musicien, Khalil Baba Ahmed, a tenu à nous préciser en aparté qu’il espère revoir et retravailler avec ces jeunes. «Nous voyons, dit-il, des jeunes qui aiment leur culture. Ils sont contents d’être ensemble.
C’est cela l’image qu’on essaye de montrer. Le vivre-ensemble, c’est d’être fier d’apporter sa petite touche locale pour construire un tout fort et puissant.
A côté de cela, il y a un côté pédagogique et de recherche scientifique. Nous avons de la matière neutre et vivante. Personnellement, ce genre d’expérience me permet de tirer certaines conclusions pour mener plus tard des projets plus construits, surtout par rapport à notre patrimoine musical.»

 

Toujours fidèle à sa mission, celle de célébrer la musique en toute diversité, c’est à travers les talents locaux et une scénographie mettant en valeur le quartier Makayabou, que le Fima a réussi un tour de force à la hauteur de sa programmation reconnue comme audacieuse sa 9e édition.
Avec l’aménagement d’un podium, érigé place terminus quartier Makayabou, l’ambition était d’offrir une expérience unique et chaleureuse aux festivaliers. De la musique universelle de Ilam aux rythmes exaltants de Teke::Teke en passant par les airs contagieux de Bleu Jeans Bleu jusqu’aux sonorités africaines et métissées de Sarahmée, cette édition n’aura laissé personne indifférent.
Pendant près d’une semaine, Pointe-Noire a vibré au rythme du Fima, Musique, théâtre, danse, arts de rue était au rendez-vous. Il y en a eu pour tous les goûts et pour tous les âges.
A vivre en famille ou entre amis, ce festival est chaque fois l’occasion de vivre des instants forts lors desquels se retrouvent touristes et ponténégrins. Ces grands moments se sont déroulés en extérieur et ont permis aux festivaliers de vivre un événement incontournable à l’air libre.
En effet, le Fima célèbre la musique dans toute sa diversité, de la pop à la musique électronique, en passant par le rap, la musique classique et le jazz. La 33è édition du Festival international de musique de Dinard a pris fin après une semaine intense et ensoleillée !
Des moments forts de musique, d’émotions et de joie partagés avec le public et les artistes.
Merci à toutes et tous pour votre présence et votre qualité d’écoute !
Le Festival vous donne rendez-vous en 2023 pour sa 34è édition et pour le 3è Concours international pour les pianistes amateurs.
Avec joie et impatience de vous retrouver l’été prochain à Dinard !
Un défilé de mode qui se regarde et s’écoute, en écho au Festival international de musique et des Arts.
Ce défilé, dans lequel se côtoient véritables matière, invite à une découverte de l’histoire des tenues vestimentaires. Des chemises extraordinaires ont étonné les visiteurs de tous âges.
L’ensemble des tissus, matériels, outils ou pièces de fabrication, ont été gracieusement mis à la disposition du créateur.

 

Hugues Prosper Mabonzo
Légendes et crédits photo : 
photo: prestation de papa Ciboule et papa Puissance crédit photo" ADIAC"
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