Dans le cadre des consultations et de l’esprit d’interaction entre les Congolais de l’étranger et les institutions républicaines, l’ambassadeur du Congo en France, Rodolphe Adada, a reçu Anatole Guy Elenga, président du Parti congolais du travail (PCT)-Europe, nouvelle instance dirigeante investie le 22 octobre dernier.
Dans une déclaration à la presse au sortir de l’audience le 9 novembre à la chancellerie du Congo en France, Anatole Guy Elenga a indiqué que « cette rencontre avait permis de présenter les civilités au premier représentant de l'État congolais», soulignant que l’ambassadeur a été à l’écoute et a confié son désir ardent de voir raviver la flamme du parti présidentiel, désormais au travail, en restaurant un nouveau climat serein, d’unité et de cohésion.
Cette rencontre, a-t-il précisé, s’est articulée autour de l’idée d’échanger les vues sur la relance des instances du parti présidentiel appelé à étendre, dans une certaine mesure, son rayonnement à l’étranger et sa représentation pour rétablir de meilleures relations dans le cadre d’une coopération active.
Propos soutenus par le porte-parole, Guy Taty, estimant que le PCT constitue, à l’étranger, un cadre de rassemblement des hommes et des femmes originaires du Congo, partageant les mêmes idéaux de paix, de construction et de concorde nationale. « Une manière de nous impliquer dans le projet de société du chef de l'État, Denis Sassou N’Guesso, et de garder un lien constant », a-t-il dit.
Et Charles Kombo, chargé aux affaires économiques, de renchérir : « l’heure est au travail, nous gagnerons à nous faire connaître pour nos réalisations concrètes inscrites au chronogramme de la feuille de route, en conformité aux attentes élaborées par le parti avec à sa tête le secrétaire général, Pierre Moussa».