L'Association des anciens de Diables noirs handball (ADNHA) en partenariat avec la commission nationale congolaise pour l’Unesco a organisé du 25 au 27 avril, à Kinkala dans le département du Pool, un séminaire de formation des encadreurs sportifs dans la lutte antidopage.
Au cours des trois jours de ce moment du donner et du recevoir, les représentants des fédérations sportives nationales, les dirigeants des clubs et des organisations sportives du Pool ont découvert tous les contours du concept de dopage ainsi que ses conséquences sur la carrière des athlètes et des structures sportives.
Les séminaristes ont beaucoup apprécié cette initiative qui leur a permis de comprendre le danger du dopage tout en ayant les moyens qui les permettront de dissuader leurs athlètes et de préparer des sportifs plus performants, dynamique et compétents. Ils ont souhaité que ces genres d’initiatives se multiplient et soient organisées dans toutes les localités du Congo.
Pour sa part, le président de l’ADNHA, Dieudonné Bonazebi, ce séminaire est une vraie réussite et grâce à la contribution de la nationale congolaise pour l’Unesco, les cinquante participants ont pu comprendre la quintessence du sujet sur le dopage.
Durant les trois jours de renforcement des capacités, les participants au séminaire ont échangé sur plusieurs thèmes ayant trait à la notion du dopage dans son ensemble.
Le premier jour, deux thèmes étaient au programme. Le président du Comité national de lutte anti dopage, Auguste Etsala, a développé le thème sur la lutte et organisation antidopage. Juste après, le Dr Jacques Ngouonimba a expliqué l'impact du dopage.
Le 26 avril, le Dr Rock Yvon Alongo a informé les participants sur le contrôle antidopage avant que le Dr Ngouonimba ne retrace le lien entre la lutte antidopage et les organisations sportives. Le dernier jour a été consacré à mettre en exergue, par Auguste Etsala et Carine Moussima, l’apport de l'Unesco.