Le docteur colonel Maurice Itous Ibara, expert en nouvelles énergies renouvelables du sol et du sous-sol, loue l’initiative d’implanter le centre d’excellence d’Oyo pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique, estimant que ce centre constitue un point de départ d’une nouvelle civilisation universelle énergétique millénaire.
Inauguré le 23 avril dernier par le président de la République, Denis Sassou N’Guesso, en présence de son homologue bissau-guinéen, Umaro Sissoco Embalo, le Centre d’excellence d’Oyo pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique a un grand rôle à jouer. En vue d’apporter sa contribution en tant qu’expert en la matière, le docteur-colonel Maurice Itous Ibara souligne qu’au sommet de tous les objectifs sur les énergies renouvelables, l’objectif principal c’est le règlement climatique à température zéro, zéro degré Celsius. Or, ce règlement demeure un sujet tabou du fait que la communauté scientifique et l’humanité entière y sont défiées. Toutes les COP 20, 21…25, 26, 27 se sont soldées par un échec. Dès lors, quelle est la problématique, s’interroge-t-il ? C’est la physique à Magnons ou physique des énergies renouvelables qui enseigne que l’univers est composé de 1 084 337 349 soleils.
Après un cycle de vingt-cinq mille ans, certains de ces soleils s’éteignent et meurent. Ainsi, pour cet expert, depuis l’existence de l’humanité, la physique à Magnons ou physique des énergies renouvelables a déjà dénombré 921 000 000 de soleils déjà morts pour devenir des super nova (explosion d’un soleil après épuisement du combustible nucléaire appelé Magnons solaire). Les 921 000 000 de soleils morts représentent 83% d’énergies polluantes qui composent l’univers et réchauffent le climat planétaire. Actuellement, l’univers est illuminé par 163 337 349 soleils représentant 17% d’énergies renouvelables permettant le règlement climatique mondial à température zéro, zéro degré Celsius. Toutes les forêts, savanes, les océans et fleuves et leur bassin, dont le bassin du Congo, les tourbières ou zones humides, toute la planète terre et sa biodiversité ne représentent que 17%. Donc, le climat planétaire est réglé à 17% et réchauffe à 83%.
Le Dr Maurice Itous-Ibara explique comment remplacer les 921 000 000 soleils morts par des nouveaux soleils vivants afin d’avoir un règlement climatique à 100%. Pour lui, l’hypothèse est celle-ci : quand le climat est réglé à 100% température zéro, zéro degré Celsius, cela veut dire que le carbone est annulé, séquestré et il y a donc décarbonation de la planète terre au superlatif. La physique-chimie à Magnons ou des énergies renouvelables informe qu’on peut trouver une énergie équivalente à la gigantesque énergie du soleil en sachant cultiver ou synthétiser des nouvelles énergies renouvelables qui sont gisements de nouveaux pétroles non polluants, mines, gaz, huiles, plantes, gisements de nouveaux bitumes non polluants additionnés et bien réglés avec la culture des nouveaux gisements d’hydrocarbures mines polluantes, gaz, huiles, plantes et gisements de nouveaux bitumes pour obtenir les nouvelles énergies renouvelables. A ne pas confondre énergies non polluantes et énergies renouvelables. Une énergie renouvelable est le reflet d’une énergie solaire.
Les gaz harmonisés produisent de l'énergie solaire
Pour le Dr Maurice Itous Ibara, le soleil émet deux sortes de gigantesque gaz : gaz à effet de serre (polluant) et gaz à effet d’actol (non polluant). Les deux gaz harmonisés produisent de l’énergie solaire. Dans une énergie solaire ou énergie renouvelable, il y a un carbone, mais ce carbone est ensommeillé, câblé, transformé, harmonisé synthétiquement pour que l’on parle d’une décarbonation de l’énergie qui devient renouvelable, propre et disponible. « A notre laboratoire des nouvelles énergies de Talangaï, dans le sixième arrondissement de Brazzaville, nous avons déjà 163 gisements de nouveaux pétroles, gaz, nouvelles mines, gisements de nouvelles plantes, nouvelles huiles que nous avons cultivées dans la région du Pool et dans les Plateaux. Ces gisements sont disposés pour être exploités en plus de 2 500 ans chacun », a expliqué le Dr Maurice Itous-Ibara.
L’ancienne civilisation universelle énergétique millénaire qui a existé depuis la nuit des temps jusqu’au XXe siècle a été marquée par les énergies dites fossiles, non renouvelables. Si le Centre d’excellence d’Oyo pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique peut constituer un point de départ pour une nouvelle civilisation universelle énergétique millénaire, c’est parce que ce centre va mettre au monde une nouvelle terre et régler le réchauffement climatique au Congo et dans le monde entier. « La terre renaît parce qu’elle est enrichie, rajeunie par les nouvelles énergies renouvelables dont la République du Congo a le leadership énergétique. Le sol congolais est le premier au monde à porter un élément chimique appelé Actol négatif, en abondance dans toutes les régions du Congo », a-t-il conclu.