Après sa contribution sur le Centre d’excellence d’Oyo et le point de départ d’une nouvelle civilisation universelle énergétique millénaire, le Dr Maurice Itous Ibara, expert en nouvelles énergies renouvelables, revient sur comment devrait être l’apport de ce centre face au règlement climatique.
L’objectif principal d’un centre de recherche en énergies renouvelables est de maîtriser le climat pour aller à son règlement à température zéro, zéro degré Celsius. Le Centre d’excellence d’Oyo pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique tel que conçu contribuera énormément à l’émergence du Congo, surtout au plan scientifique. Il permettra de le classer parmi les pays ayant une politique efficace sur les énergies renouvelables. Entendu q'il compte parmi les pays du monde à avoir un taux de 90% de composition du sol et sous-sol riche en Actol négatif. « Lorsque nous fabriquons l’actol positif par laboratoire en le mettant en terre, celui-ci se féconde avec l’actol négatif pour former une énergie solaire souterraine qui devient soit du pétrole des mines … Les sols actols sont des sols riches en ferralsol, arénosols et acridols », a signifié le Dr Maurice Itous Ibara.
Il a précisé que pour régler le climat mondial, la terre a besoin de 921 millions de gisements de nouvelles énergies renouvelables. Le sol du Congo a la capacité de supporter 462 millions de gisements de nouvelles énergies renouvelables (soit la moitié des gisements des nouvelles énergies renouvelables planétaires). Le règlement climatique dans les zones économiques du Sud-Congo nécessite 731 000 gisements de nouvelles énergies renouvelables.
Comment régler le réchauffement du climat dans les zones économiques spéciales de Brazzaville et Pointe-Noire ?
Pour le Dr Maurice Itous Ibara, la méthode à Magnons permet de régler le réchauffement climatique à travers la culture de gisements de pétrole à magnons, mines, gaz à magnons… Son équation est de cultiver 654 032 nouvelles énergies non polluantes + 1968 énergies polluantes, 656 000 nouvelles énergies renouvelables ou solaires ou soleils virtuels (à cultiver). Quant au règlement du réchauffement du climat dans la zone économique spéciale de Pointe-Noire, son équation est de cultiver 74 775 nouvelles énergies non polluantes + 225 nouvelles énergies polluantes 75 000 nouvelles énergies renouvelables ou solaires ou soleils virtuel (à cultiver).
S’agissant du tableau synthèse du règlement climatique dans la zone économique spéciale de Brazzaville, le pétrole et les gaz renouvelables donnent : 163 508 ; les mines renouvelables 81 754 ; les plantes à Magnons 81 754 ; les hydrocarbures, gaz po 492 ; et les mines Polluantes 492, ce qui donne un total de 328 000. Pareil pour le Pool. Le sous-total de Brazzaville et du Pool donne 327 016 pour le pétrole et les gaz renouvelables ; 163 508 pour les mines renouvelables ; 163 508 pour les plantes à Magnons ; 984 pour les hydrocarbures, gaz, po ; 984 pour les mines polluantes, soit 656 000 énergies renouvelables, pour un total général de 654 032 nouvelles énergies non polluantes et 1 968 mines polluantes.
Dans la zone économique spéciale de Pointe-Noire donne, en ce qui concerne le département du Niari, le tableau synthèse du règlement climatique donne: pétroles, gaz renouvelables 3988 ; mines renouvelables 3988 ; plantes renouvelables 1994 ; hydrocarbures, gaz po 15 ; mines polluantes 15, ce qui donne 10 000 en observation. Pareils pour la Bouenza, la Lékoumou et le Kouilou. Alors que Pointe-Noire, présente 1395 pour le pétrole, gaz renouvelables ; 13958 pour les mines renouvelables ; 6979 pour les plantes renouvelables ; 70 pour les hydrocarbures, gaz po ; 35 mines polluantes ; ce qui donne 35 000 en observation. Sous total de 29910 de pétrole, gaz renouvelables ; 29910 de mines renouvelables ; 14955 de plantes renouvelables ; 130 d’Hydrocarbures, gaz po ; 95 de mines polluantes, ce qui donne 75 000 en observation, pour un total général de 74775 énergies non polluantes et 225 énergies polluantes. « Sur les 731 000 gisements de nouvelles énergies renouvelables dans les zones économiques du Sud Congo, nous en avons déjà cultivé 150 gisements à forer et explorer. Il y en reste 730 850 à cultiver pour régler le réchauffement climatique dans la zone du Sud Congo », a fait savoir le Dr Maurice Itous Ibara.
Notons que le Centre d’excellence d’Oyo pour les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique a été inauguré le 23 avril dernier par le Président de la République, Denis Sassou N’Guesso.