Dans un entretien exclusif avec Les Dépeches de Brazzaville, Pierre Claver Mabiala, directeur du festival international des musiques et des arts N'S'angu Ndji-Dji et directeur de l'espace culturel Yaro organisateur de l'evenenment, a relévé les particularités de sa 19e édition qui a récemment eu lieu dans la ville océane et à Loango dans le département du Kouilou et qui a été couplée à d'autres évenements concernant le Congo et l'Afrique.
Des évenements dans un evenement, c'est ce qu'a été la 19e édition de ce festival qui s'est tenue du 7 au 11 juin à Pointe-Noire et dans l
Lesdits évenements sont notemment: la première édition internationale africaine des consultations poétiques, la première experience du projet Route de l'artiste en afrique centrale (RAAC) et la deuxième phase du projet Tudumukaanu. Artistes et groupes du Congo, Gabon, Cameroun, Burundi, RDC, Tchad, mali et France ont illuminé, du 7 au 11 juin, les scènes de la 19e édition du festival N’Sangu Ndji-Ndji sur les sites de l’Espace culturel Yaro, l’Espace culturel O Bosso et de l’Institut Français du Congo (IFC) à Pointe-Noire ainsi qu’à l’Espace culturel Yaro site 2 dans la sous-préfecture de Loango (département du Kouilou). Concerts, spectacles, rencontres professionnelles et autres étaient au menu de l’évènement.
Dans un entretien exclusif avec Les Dépêches de Brazzaville, Pierre Claver Mabiala, directeur du festival international des musiques et des arts N'S'angu Ndji-Dji et directeur de l'espace culturel Yaro organisateur de l'évènement, a évoqué, le 18 juin dernier, les particularités de sa 19e édition qui a eu lieu du 7 au 11 juin dans la ville océane et dans la sous prefeture de Loango dans le département du Kouilou qui a été couplée à d'autres évènements qui concernent plusieurs pays d’Afrique. Concerts, spectacles, rencontres professionnelles et autres activités étaient au menu de cette édition.
Grand rendez-vous culturel organisé par l’espace culturel Yaro depuis 2005, le festival N’Sangu Ndji-Ndji réuni chaque année des publics des différents quartiers de la ville cosmopolite de Pointe-Noire, des équipes artistiques et des professionnels des arts et de la culture d’Afrique, d’Europe, d’Amérique et d’ailleurs autour des différentes activités. Le festival qui a retrouvé son format habituel après deux éditions,,,,,,,à cause du Convid-19, se positionne «comme un espace d’accompagnement et de découverte des jeunes créateurs, de promotion et de relais de diffusion artistique».
Des évenements dans un evenement, c'est ce qu'a été la 19e édition de ce festival qui s'est tenue du 7 au 11 juin à Pointe-Noire et à Loango, sous-prefeture du département du Kouilou.
«La ville de Pointe-Noire étant l’une des villes les plus cosmopolites d’Afrique Centrale, son développement devrait être accompagné d’une vraie animation culturelle et artistique qui prend en compte la construction d’une citoyenneté responsable, consciente de certains enjeux de l’heure comme l’environnement, la mixité, la diversité culturelle... N’Sangu Ndji-Ndji, à travers la mobilisation de tous les publics, surtout ceux des quartiers populaires et périphériques, entend inciter les pouvoirs publics et les collectivités locales à prendre en compte la dimension culturelle dans les politiques de développement», a indiqué Pierre Claver Mabiala, directeur de l’Espace culturel Yaro et dudit festival.
C’est à l’espace culturel Yaro, situé derrière l’hôpital général de Loandjili, au quartier Faubourg qu’a eu lieu la cérémonie de lancement de la 19e édition de ce festival placée sous la houlette de Louis Gabriel Missatou, premier vice maire, représentant la présidente du conseil départemental et municipal, maire de la ville de Pointe-Noire, Evelyne Tchichelle. Le site bondé de monde jusqu’à l’entrée s’est revêtu de sa plus belle robe pour accueillir les festivaliers et le public ainsi que d’autres autorités comme Jean Louis Banthoud, directeur de cabinet du préfet du département de Pointe-Noire, Jean-Baptiste Pouélé, secrétaire général de l’arrondissement 5 Mongo Mpoukou et Fréderic Pambou, attaché socio-culturel représentant le président du conseil départemental du Kouilou.
Artistes et groupes du Congo, Gabon, Cameroun, Burundi, RDC, Tchad, mali et France ont illuminé les scènes de la 19e édition du festival N’Sangu Ndji-Ndji qui s''st tenue du 7 au 11 juin sur les sites de l’Espace culturel Yaro, l’Espace culturel O Bosso et de l’Institut Français du Congo (IFC) à Pointe-Noire et au rond-point Laonago et à l’Espace culturel Yaro site 2 à Loango, sous-préfecture du département du Kouilou.
N’Sangu Ndji-Ndji (la fête de Pointe-Noire) 2023 a vécu pendant 5 jours. 5 jours de fête avec les concerts de musique, les spectacles de danse (traditionnelle, contemporaine et hip hop) et de théâtre, des ateliers et rencontres professionnelles ainsi que des animations diverses.
Les ingrédients étaient réunis pour rendre la fête belle et proposer au public des beaux spectacles servis par les artistes et groupes locaux et internationaux. Il s’agit notamment de l’atelier de danse Mwezi (qui réunit des membres de diverses nationalités), l’atelier de danse Yaro (constitué de jeunes talents du quartier faubourg découverts et encadrés par l’espace culturel Yaro), Ying et Yang, Revolution Crew, Les Déesses, Divin Dancers. Le public a vibré au rythme du gospel, regga, rumba, ndombolo, musique tradi moderne, musique de recherche et autres avec Passi Elgache, Mixstone, Brice Mizingou, l’orchestre Handi Musica Gueule des stars, l’orchestre Sa majesté Machine et les Talentueux du Congo, et Yves Lenoir (Cameroun), Les Jumeaux Musique Club / (Burundi), Moussa Remadji Aimé (Tchad) Runny Noise France.
Il s’est évadé à l’IFC et à l’Espace culturel Yaro avec Djamil Mohamed (France) dans la pièce «Djamil Mohamed», écrite par Ronan Chéneau à partir de l’histoire de Djamil Mohamed, mise en scène par David Bobée. Un beau moment d’interactivité entre le public et le jeune comédien et acteur français surtout à l’Espace culturel Yaro où il a émerveillé les enfants venus nombreux et longtemps échangé avec eux sur, entre autres, la pièce, son amour pour le théâtre et sur son parcours.
Les artistes et acteurs culturels de la ville ont pu s’informer sur les mécanismes de financement innovants des projets en Afrique à travers une rencontre professionnelle du ……organisé à l’IFC animé par Luc…………………
Si l’année dernière, le Kouilou a reçu le festival pour un jour dans le village de Diosso et à Loango pour sa clôture, il a eu l’honneur cette année d’abriter les deux derniers jours (10 et 11 juin) de l’évènement. Et c’est l’Espace culturel Yaro site 2 de Loango qui a abrité le festival pendant ces deux jours. Comme l’année, le sport a aussi été de la partie ainsi que des concerts de musiques avec ………. Moe Hangua et le groupe Tivel, Zina Hope, Sa Majesté Machine et les Talentueux
La 19e édition du festival s’est achevée à loango ….. dans une belle ambiance avec la prestation de MLG Mocristo, qui, comme à l’accoutumée, a mis le feu à la baraque avec des titres bien connus des congolais comme Tul’Kulu et
Des vévenements dans un évenementre autres, Notons que la 19e édition a eu la particularité d’être couplée à la première semaine internationale des consultations poétiques et de servir de première expérience pour le projet Route de l’artiste en Afrique centrale (RAAC) destiné à favoriser la mobilité des artistes par route. Un rêve devenu une réalité puisque le festival a reçu des participants venus du Cameroun, Tchad et ……qui sont venus par route. Autre particularité de cette édition se sont les formations en captation vidéo, administration culturelle (Conception et gestion d’un projet culturel) et régis son et organisés en marge du festival et qui intègre le projet Tudumukaanu porté par l’espace culturelle Yaro et financé par l’Union européenne.
Attaché socio-culturel du président du conseil départemental du Kouilou
Autres partenaires ; la mairie de pointe-noire, prefecture de pointenoire conseil ddéparteamental du kouilou.
Festival N’Sangu Ndji-Ndji : la 19e édition a été couplée à d'autres évènements
Dans un entretien exclusif avec Les Dépêches de Brazzaville, Pierre Claver Mabiala, directeur du festival international des musiques et des arts N'S'angu Ndji-Ndji et directeur de l'espace culturel Yaro organisateur de l'évènement, a relevé les particularités de sa 19e édition, couplée à d'autres évènements concernant le Congo et l'Afrique et qui a récemment eu lieu dans la ville océane et à Loango dans le département du Kouilou.
Artistes et groupes du Congo, Gabon, Cameroun, Burundi, RD Congo, Tchad, Mali et France ont illuminé les scènes de la 19e édition du festival N’Sangu Ndji-Ndji qui s'est tenue du 7 au 11 juin sur les sites de l’Espace culturel Yaro, l’Espace culturel O Bosso et l’Institut Français du Congo (IFC) à Pointe-Noire, au rond-point Laongo et à l’Espace culturel Yaro site 2 à Loango, sous-préfecture du département du Kouilou. Grand rendez-vous culturel organisé par l’espace culturel Yaro depuis 2005, le festival N’Sangu Ndji-Ndji réuni chaque année des publics des différents quartiers de la ville cosmopolite de Pointe-Noire, des équipes artistiques et des professionnels des arts et de la culture d’Afrique, d’Europe, d’Amérique et d’ailleurs autour des différentes activités.
Le festival qui a retrouvé son format habituel après deux éditions,,,,,,,à cause du Convid-19, se positionne, selon Pierre Claver Mabiala, comme un espace d’accompagnement et de découverte des jeunes créateurs, de promotion et de relais de diffusion artistique. L’évènement entend contribuer à la construction d’une citoyenneté responsable, consciente de certains enjeux de l’heure comme l’environnement, la mixité, la diversité culturelle. «N’Sangu Ndji-Ndji, à travers la mobilisation de tous les publics, surtout ceux des quartiers populaires et périphériques, entend inciter les pouvoirs publics et les collectivités locales à prendre en compte la dimension culturelle dans les politiques de développement», a expliqué Pierre Claver Mabiala.
C’est à l’espace culturel Yaro qu’a eu lieu la cérémonie de lancement de la 19e édition de ce festival placée sous la houlette de Louis Gabriel Missatou, premier vice maire, représentant la présidente du conseil départemental et municipal, maire de la ville de Pointe-Noire, Evelyne Tchichelle. Le site bondé de monde ce jour s’est revêtu de sa plus belle robe pour accueillir le public, les festivaliers ainsi que d’autres autorités locales comme Jean Louis Banthoud, directeur de cabinet du préfet du département de Pointe-Noire, Jean-Baptiste Pouélé, secrétaire général de l’arrondissement 5 Mongo Mpoukou et Fréderic Pambou, attaché socio-culturel représentant le président du conseil départemental du Kouilou.
Les ingrédients étaient réunis pour rendre la fête belle et proposer au public des beaux spectacles servis par les artistes et groupes locaux et internationaux. Il s’agit notamment de l’atelier de danse Mwezi (qui réunit des membres de diverses nationalités), l’atelier de danse Yaro (constitué de jeunes talents du quartier faubourg découverts et encadrés par l’espace culturel Yaro), Ying et Yang, Revolution Crew, Les Déesses, Divin Dancers. Le public a vibré au rythme du gospel, regga, rumba, ndombolo, musique tradi moderne, musique de recherche et autres avec Passi Elgache, Mixstone, Brice Mizingou, l’orchestre Handi Musica Gueule des stars, l’orchestre Sa majesté Machine et les Talentueux du Congo, et Yves Lenoir (Cameroun), Les Jumeaux Musique Club / (Burundi), Moussa Remadji Aimé (Tchad) Runny Noise France.
Il s’est évadé à l’IFC et à l’Espace culturel Yaro avec Djamil Mohamed (France) dans la pièce «Djamil Mohamed», écrite par Ronan Chéneau à partir de l’histoire de Djamil Mohamed, mise en scène par David Bobée. Un beau moment d’interactivité entre le public et le jeune comédien et acteur français surtout à l’Espace culturel Yaro où il a émerveillé les enfants venus nombreux et longtemps échangé avec eux sur, entre autres, la pièce, son amour pour le théâtre et sur son parcours.
Les artistes et acteurs culturels de la ville ont pu s’informer sur les mécanismes de financement innovants des projets en Afrique à travers une rencontre professionnelle du ……organisé à l’IFC animé par Luc…………………
Si l’année dernière, le Kouilou a reçu le festival pour un jour dans le village de Diosso et à Loango pour sa clôture, il a eu l’honneur cette année d’abriter les deux derniers jours (10 et 11 juin) de l’évènement. Et c’est l’Espace culturel Yaro site 2 de Loango qui a abrité le festival pendant ces deux jours. Comme l’année, le sport a aussi été de la partie ainsi que des concerts de musiques avec ………. Moe Hangua et le groupe Tivel, Zina Hope, Sa Majesté Machine et les Talentueux
La 19e édition du festival s’est achevée à loango ….. dans une belle ambiance avec la prestation de MLG Mocristo, qui, comme à l’accoutumée, a mis le feu à la baraque avec des titres bien connus des congolais comme Tul’Kulu et
N’Sangu Ndji-Ndji 2023, des évènements dans un évènement
La tenue du festival a été précédée d’une conférence de presse qui a eu lieu le 3 juin à l’espace culturel Yaro. La rencontre animée par …à été l’occasion pour les organisateurs de présenter, entre autres, la programmation et les particularités de sa 19e édition. Des évènements dans un évènement, c’est ce qu’a été Nsangu Ndji –Ndji 2023. En effet, le festival a été cette année couplée à la première semaine internationale des consultations poétiques qui ont eu lieu du ………….avec un spectacle et des consultations dans les 6 arrondissements de la ville assurés par des artsites du Congo, Cameroun, Gabon…….
La 19e édition de ce festival a aussi servie de première expérience pour le projet Route de l’artiste en Afrique centrale (RAAC) destiné à favoriser la mobilité des artistes par route dans la sous-région. Un rêve devenu une réalité puisque le festival a reçu des participants venus du Cameroun, Tchad et ……qui sont venus par route. Autre particularité de cette édition se sont les formations en captation vidéo, administration culturelle (Conception et gestion d’un projet culturel) et régis son et organisés en marge du festival et qui intègrent le projet Tudumukaanu porté par l’espace culturelle Yaro et financé par l’Union européenne.
De nombreux artistes ont fait leur premier pas sur une scène africaine et international
Sur la liste des particularités de Nsangu Ndji-Ndji 2023, s’ajoute la possibilité que ce festival a donné aux uns la possibilité de monter pour la première fois dans le pays une scène international et autres de monter pour la première fois sur une scène hors de leur pays. Des premières expériences réussies pour
notamment des Jumeaux music club du Burundi, Ronny Noise et Jamil Hamed de France.
Le festival a été pour bon nombre d’entre eux une occasion de s’ouvrir à l’international.