L’annonce du décès en France, le 2 novembre, de l’ancien Premier ministre, ancien ambassadeur du Congo en France, poète et écrivain Henri Lopes, a suscité de nombreuses réactions au sein du monde politique, littéraire et culturel. Membre associé, comme l’illustre disparu de l’Académie des sciences d’Outre-Mer, Anatole Collinet Makosso, Premier ministre du Congo, regrette la perte d’un « éclaireur de premier plan » ; ministre de l’Industrie culturelle, touristique, artistique et des Loisirs, Lydie Pongault, parle de « sa grande estime pour l’homme » ; son ami Jean-Paul Pigasse ne doute pas qu’Henri Lopes restera à jamais dans les mémoires, tandis que dans divers autres papiers d’actualité et d’évocation, Les Dépêches de Brazzaville soulignent combien l’auteur de Il est déjà demain était attaché à ses racines.
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