Reçu par le président du Sénat, Pierre Ngolo, le 15 novembre, l’ambassadeur d’Algérie au Congo, Azzedine Riache, a dit examiner avec son hôte des formules pour la concrétisation des échanges entre les parlements des deux pays.
Azzedine Riache est allé féliciter le président du Sénat pour sa réélection à la tête de cette institution au titre de la quatrième législature. Il a profité de l’occasion pour transmettre à son hôte les salutations et félicitations de son ami et frère, le président du Conseil de la nation algérienne, l'équivalent du Sénat. « Nous avons examiné des formules pour la consolidation des échanges au niveau des Etats, entre les sénateurs, l’organisation des visites et des rencontres entre les présidents des deux chambres. L’assistance technique, l’échange d’expériences en matière d’organisation d’organes législatifs et plus particulièrement, la mise en place des groupes d’amitié entre les deux Sénats en vue de renforcer cette relation entre les deux institutions », a signifié le diplomate algérien.
Les deux hommes ont également abordé les questions liées aux relations bilatérales tout en se félicitant du capital historique et politique que partagent les deux pays en terme d’amitié, de solidarité et de considération.
« Nous avons souligné que les relations entre l’Algérie et le Congo n’obéissent ni à des déformations partisanes ni à des calculs économiques mais sont fondées sur une conviction partagée entre les deux chefs d’Etat et ont pour base une relation de confiance, de solidarité et de fraternité », a rappelé Azzedine Riache.
Il a aussi souligné le fait que les deux pays partagent une tradition commune dans la concertation, la coordination et la collaboration sur l’ensemble des questions d’intérêt régional et international mais dans le respect réciproque.
Le diplomate algérien a aussi noté que le Congo et l’Algérie partagent les mêmes points de vue, les mêmes approches et analyses sur l’ensemble des questions communes, sur le continent ainsi que les causes justes au niveau international et la préservation de la paix et la sécurité des deux pays.
Ils ont enfin souligné que la coopération parlementaire doit être une partie intégrante de la dynamique qui caractérise les relations des deux pays, afin d’instaurer un partenariat économique solide, durable et mutuellement avantageux.