Le film sorti en 1996 répand un parfum de Noël à travers une histoire à la fois comique, nostalgique et familiale.
Dans cette comédie de Noël, Arnold Schwarzenegger se glisse dans la peau de Howard Langston, un homme d'affaires, un père de famille qui ne jure que par son travail. À l’approche de Noël, alors que son fils Jamie lui avait fait promettre de lui offrir comme jouet un robot Turbo-Man, ce dernier, trop occupé, a oublié d'acheter ce que son fils désire tant pour ces festivités-là.
A la veille du grand jour, le père de famille s’en souvient et se met éperdument en quête de ce jouet qui est malheureusement en rupture de stock dans tous les magasins. Pour se le procurer, «Schwarzy» est prêt à tout, même à se battre avec un autre papa qui doit accomplir la même mission.
« La course au jouet » est une manière d’interpeller les parents en cette période de festivités à s’organiser, le plus tôt possible, pour offrir à leurs enfants une heureuse et mémorable fin d’année. Au delà des jouets, les cadeaux peuvent aussi prendre la forme de livres, de moments de qualité, des séances photos, des objets personnalisés, d’un dîner, d’une excursion, d’un voyage, etc. Sachant qu’en période de festivités la demande est grande, s’y prendre à temps paraît donc judicieux. Au risque de voir son souhait être chamboulé.
Par ailleurs, le film met un point d’honneur sur la place et la valeur de la famille. Qu’importe nos occupations, il est important de savoir trouver un équilibre entre la profession et la famille pour ne pas laiser l’un des camps.
D’une durée d’environ 1h 30 min, « La course au jouet » s’inscrit dans la lignée de « Maman, j’ai raté l'avion » de Chris Colombus qui est, d'ailleurs, producteur sur ce film. Il se veut, au final, une comédie sympathique à regarder en famille pendant la période des fêtes de Noël pour se détendre et passer un bon moment tout en se mettant dans l’ambiance de ces fêtes.