Le lancement du méga-projet du règlement climatique mondial sur le thème « Création du nouvel environnement (à Magnons) ou environnement semi-naturel (de laboratoire) pour un règlement climatique mondial à température zéro, zéro degré Celsius : cas du chantier de la République du Congo» a eu lieu le 24 mars, à l’Académie des sciences et des arts du Congo (Asac).
Initié par le Dr Maurice Itous Ibara, expert en règlement climatique, promoteur et président directeur général de l’Asac, le méga projet du règlement climatique mondial prendra fin le 24 mars 2050. Il concerne 41 chantiers du règlement climatique, notamment la culture de 921 000 000 gisements de pétrole, mines, gaz (butanes, hydrogènes, acétylènes, propanes…), huiles, bitumes, essences, gasoil, kérosènes renouvelables et non renouvelables tous harmonisés pour un règlement climatique mondial à température zéro, zéro degré Celsius.
Dans son mot introductif, le secrétaire perpétuel de l’Asac, Makuala Digu Di Nzita, a souligné que depuis plusieurs années, le Dr Maurice Itous Ibara réfléchit à une importante conférence qui est une étape décisive dans la concrétisation de ce parcours ponctué par la science à Magnons dont le chantier est présentement celui du Congo.
La méthode à Magnons, a expliqué le Dr Maurice Itous Ibara, conduit au règlement climatique de la planète Terre, à température zéro, zéro degré Celsius à partir de l’énergie solaire liquéfiée. Pour lui, d’après leurs recherches sur les nouvelles sciences dites à Magnons, physique-chimie à Magnons et biologie magnétique science de la vie, l’univers est composé de 1 084 337 349 soleils. Chaque 25 000 ans, ces soleils meurent pour certains et deviennent des super novas. « De nos jours, nous pouvons compter 921 000 000 soleils morts et représentant donc 83% du réchauffement climatique. Il en reste 163 337 349 soleils représentant 17% du règlement climatique que cet univers se partage avec toutes les planètes et autres entités dont la planète Terre », a-t-il indiqué.
Il a ajouté que les trois grands basins forestiers tropicaux de la planète, à savoir le bassin du Congo, l’Amazonie et le Bornéo Mékong, bien que représentant les 80% du couvert végétal et environ trois quarts de sa biodiversité (y compris les autres éléments de l’environnement planétaire), ne représentent que 17% du règlement climatique (chaque planète étant la reproduction exacte de notre univers en miniature). Autrement dit, la séquestration et l’emprisonnement des bonnes de carbone par les tourbières… ne sont qu’à 17%.
L’environnement à Magnons répond à la problématique du règlement climatique
A la question de savoir comment régler le climat, le Dr Maurice Itous Ibara pense que le nouvel environnement ou environnement à Magnons répond à la problématique du règlement climatique par la création des nouvelles énergies renouvelables.
« Le nouvel environnement représentant scientifiquement le règlement climatique ne concerne plus les trois grands bassins : bassin du Congo, Amazonie et Bornéo Mékong, mais des nouveaux bassins à créer, autrement dit, le nouvel environnement minéral (pétrole à magnons, mines à magnons, huiles à magnons… gaz à magnons…), le nouvel environnement végétal (palmiers à magnons…) et le nouvel environnement animal », a précisé le Dr Maurice Itous Ibara.
Le crédit carbone à Magnons, a-t-il expliqué, est un procédé du marché carbone qui consiste à la décarbonation de l’environnement en passant par une équation dite équation du règlement climatique à température zéro degré Celsius, issue de la culture des nouvelles énergies renouvelables en création (nouvel environnement). A propos, pour décarboner la République du Congo, le Dr Maurice Itous Ibara pense qu’il faut d’abord s’approprier l’environnement en le recréant. Ensuite, appliquer l’équation du règlement climatique. Cette équation permet l’harmonisation du carbone avec les énergies non polluantes pour aboutir à l’annulation totale du carbone et passer vers l’émergence des nouvelles énergies renouvelables, propres et saines. Le Congo est décarboné quand les outils du carbone à magnons des zones économiques spéciales de Ouesso, Oyo, Ollombo, Brazzaville et de Pointe-Noire deviennent toutes des nouvelles énergies renouvelables, les émissions de gaz à effet de serre deviennent alors des émissions à effet d’Actol. Le prix d’un crédit carboné à Magnons est de 19 000 000 FCFA pour une tonne de dioxyde de carbone.