En attendant les actes de ce colloque, le Comité d’organisation affiche sa satisfaction quant au challenge osé de réitérer l’exploit des trois premières journées médicales congolaises en France
La toute dernière session du programme du vendredi 11 octobre affichait encore salle comble à 18 h 30.
De l’avis unanime des participants, la rencontre aura été riche en échanges, en réflexions et en partage d’expertises.
Tout le long des interventions, les contributions ont été en rapport avec les maladies non transmissibles telles que le diabète, l’hypertension artérielle, l’insuffisance rénale chronique et les cancers, représentant, à ce jour, des enjeux majeurs de santé publique à l’échelle mondiale.
Les médecins ont alerté sur la conscientisation de la prise en charge et le traitement de ces maladies nécessitant une mobilisation collective, à la fois, des professionnels de santé, des patients, surtout des décideurs politiques, et de l’ensemble des sociétés civiles.
« En tant que médecin d’origine africaine installé en France, nous avons une double responsabilité. D’une part, celle de continuer à exercer avec excellence et engagement ici en France dans nos lieux d’exercice ; d’autre part, celle de contribuer au développement des politiques de santé publique dans nos pays d’origine », a-confié le Dr Bibi, Président de l’AIMCF.
Dans son mot de clôture et de fin du colloque, le Dr B. Ebikili, Président du Comité d’organisation a terminé son allocution, en réitérant à tous, ses sincères remerciements pour la forte mobilisation et participation active à ce colloque des médecins venus de France et de l’étranger, citant nommément, le Pr A.M. Mouanga venu pour la circonstance depuis Brazzaville.
Les particpants se sont retrouvés par la suite en début de soirée pour assister au spectacle de l'artiste conteur Gabriel Kinsa.