Une trentaine de journalistes viennent d’être renfoncés en capacités en ce qui concerne la collecte, le traitement et la diffusion des informations liées aux violences sexuelles et celles associées au genre.
Grâce à cette formation, le projet communication pour le changement de comportement (C-Change/FHI360) vient de se doter d’un réseau de journalistes suffisamment outillés pour traiter des informations liées aux violences sexuelles et celles associées au vih-sida. Parce qu’il a été constaté par les facilitateurs qu’il y a insuffisance d’articles et émissions radiotélévisées consacrés aux violences sexuelles.
Ils ont également relevé la prédominance de certains genres journalistiques au détriment d’autres et recours à un nombre limité de genres journalistiques ; la quasi-absence d’autres genres journalistiques, pourtant, importants; l’absence d’initiatives de la part des journalistes.
Les journalistes formés se disent suffisamment outillés pour traiter les questions liées aux violences sexuelles et celles associées au vih-sida. « Aujourd’hui, je suis en mesure de traiter avec professionnalisme les sujets concernant les violences sexuelles et celles associées au vih. Ce sont des questions qui concernent la santé et le développement donc elles sont d’une importance capitale », explique la journaliste rose awazi.
Clôturant cette formation, la représentante de la ministre du genre, de la famille et de l’enfant, Esther Kamwanya demande aux professionnels de médias de ne pas garder les enseignements reçus et les rassure de la disponibilité de son ministère à leur fournir toutes les données dont ils auront besoin dans le cadre de traitement des informations liées aux violences sexuelles.
Au terme de cette formation les journalistes ont été invités à améliorer la qualité de leurs productions sur les violences sexuelles et celles associées au VIH et, d’augmenter la quantité de la production journalistique sur les violences sexuelles et celles associées au VIH.