Le 14ème congrès mondial de la foresterie se tient à Durban, en Afrique du Sud, du 7 au 11 septembre sur le thème «Forêts et populations : Investir dans un avenir durable».
Co-organisé par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Afrique du Sud, le Congrès mondial de la foresterie mettra en valeur le continent africain, à travers une grande journée et un Pavillon dédiés exclusivement à la région.
À l’issue de ces assises auxquelles prennent part les Organisations non gouvernementales (ONG), les sociétés privées, les organisations scientifiques et professionnelles ainsi que des sociétés forestières, un document final sera publié. Ce texte sera considéré comme la version 2050 qui balisera la voie vers la signature d’un nouvel accord sur le changement climatique, lors du sommet dit COP 21, qui se tiendra en décembre prochain à Paris en France.
À cette occasion, la FAO a procédé au lancement de l’évaluation mondiale de ses ressources forestières au titre de l’année 2015. Rappelons que le Congrès mondial de la foresterie se tient tous les six ans dans un pays différent. Nairobi abrite un symposium sur l’économie verte, du 7 au 10 septembre. Le Forum international SEED Africa, consacrée à l’économie verte. Organisé sur le thème «Bâtir des ponts pour avoir un Impact: Croissance verte et inclusive grâce à l’entrepreneuriat», ce symposium 2015 a réuni près de 500 opérateurs économiques spécialisés dans le domaine du développement durable et responsables politiques. Quatre jours durant, ces acteurs avérés du secteur forestier ont approfondi des réflexions sur la problématique de l’entrepreneuriat vert. Ils ont aussi saisi la balle au bond pour plancher sur le rôle que l’économie verte joue dans l’agenda mondial de développement post-2015. Il sied de retenir que SEED est un partenariat mondial d’actions en faveur du développement durable et de l’économie verte. Il a été créé en 2002 par le programme des Nations Unies pour l’environnement (UNEP) L’Ethiopie prépare une 1ère conférence internationale sur ses mines Prévue du 24 au 25 septembre à Addis-Abeba, la 1ère Conférence et Salon international sur les mines d’Ethiopie (EIMC), regroupera essentiellement les dirigeants mondiaux de l’industrie minière, les partenaires de développement, les financiers, les fournisseurs de services et d’autres acteurs œuvrant dans ce secteur. Pendant deux jours, ces acteurs réfléchiront sur l’avenir du secteur minier Ethiopien, mais aussi et surtout sur les potentialités que ce secteur regorge, pour contribuer au développement du pays. Ce rendez-vous sera aussi un moment de partage d’expériences entre les participants. Ces participants mettront aussi à profit cette rencontre pour conclure des partenariats et discuter des stratégies à mettre en œuvre pour booster ce secteur.