Jean Pierre Vidon l’a signifié au ministre congolais du Tourisme et de l’environnement, Josué Rodrigue Ngouonimba. Pour le diplomate français, la République du Congo a parfaitement respecté cette échéance.
À deux mois de la Conférence de Paris (COP21) sur le climat, prévu du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris, l’ambassadeur de France en République du Congo, Jean Pierre Vidon, a rencontré le ministre congolais Josué Rodrigue Ngouonimba. Les deux personnalités ont abordé les différents aspects liés à cette conférence.
« Comme j’ai eu l’occasion déjà de le dire, la France à travers l’Agence française de développement a apporté un soutien technique pour faciliter l’élaboration de cette contribution. Le fait que les choses soient suivies prouve que ce soutien a été utile, mais le soutien ne suffit pas, car il a fallu une forte volonté politique qui a été réaffirmée et qui le sera encore au moment de la conférence par la République du Congo. »
La transmission de la contribution nationale que chacun des pays du monde doit fournir pour témoigner de son application dans la recherche de son atténuation de l’émission de gaz à effet de serre, ainsi que dans la recherche des mesures d’adaptation, a été l’ échéance la plus proche du fait qu’elle se situe tout simplement demain, a signifié Jean Pierre Vidon. Et la République du Congo, pense-t-il, a parfaitement respecté cette échéance puisque hier cette contribution a été transmise. C’est pour cette raison qu’il a souhaité féliciter le ministre et toute son équipe. Il a félicité le Congo pour sa présence et le rôle qu’il a joué dans la finition de cette position qui doit être définie d’une manière globale pour le continent africain.