Le 14 février c’est la traditionnelle célébration de la Saint Valentin en Occident depuis l’antiquité. Cynthia Portella, directrice de Kyami Events prédit une flamme qui perdurera
La Saint-Valentin a son importance auprès des Congolais de l’étranger. Certes, dire « je t’aime » à son compagnon ou à sa compagne n’est pas dans les mœurs des Congolais à l’origine. Mais, dans des agglomérations où l’activité principale est « boulot-dodo », les amoureux congolais surpassent leurs difficultés quotidiennes et expriment leur flamme le 14 février. C’est une date qui demeure et qui cristallise beaucoup d’attentions, voire de passions.
Est-ce par effet d’imitation, comme le constate l’écrivain Henri Lopès dans son roman Tribaliques, que « l’Afrique, à force de danser et de chanter, s’est vue devancer par des peuples plus austères» ? Cynthia Portella, en charge de l’organisation de mariages, constate que les Congolais de l’étranger vivent dans la mondialisation et ne peuvent, de ce fait, être en marge de la société. L’amour est omniprésent sans en pervertir l’esprit.
Cela étant et idéalement, outre à la Saint-Valentin, c’est dans les petites choses de chaque jour que doit être entretenue, de tout son éclat, la flamme de l’amour !
C’est beau d’aimer et d’être aimé. Bonne fête !