De plus en plus au Congo en général et dans la ville de Pointe-Noire en particulier, la question des enfants de la rue est toujours posée avec acuité dans ces derniers jours où des enfants vulnérables botamment des orphelins et ceux qui sont abandonnés par manque de familles prenantes.
Ces enfants de la rue autrement dit enfants abandonnés ou sans parents sont de plus en plus visibles dans notre ville océane capitale . Cette situation est une véritable épine sous le pied des autorités de la ville et préfectorales. Ce problème est devenu une vraie honte pour la République tout entière, car à l'Etranger certains congolais sont toujours restés hésitants lorsque des questions leur sont posées sur cette honteuse situation. Et dans d'autres pays africains, la situation a aussi pris d'autres ampleurs parmi lesquelles, les enfants jetés et autres.
En cette réalité cette question reste encore pendante et demande que chose soit faite. Aujourd'hui,la chosea totalement changé car nos villes se sont élargies et la démographie a considérablement augmenté. Or qui dit augmentationdémographique, dit accroissement du nombre de ménages, donc production abondante des ordures ménagèreset d'autres déchets dans la ville. Et le vrai problème est le comment gérer ces ordures? Le constat qui se dégage laisse à désirer. Nombreuses, sont des municipalités qui ont des stratégies tâtonnantes devant ces ordures à gérer. Ce problème de la production des ordures est donc inhérent à la vie humaine.
Tenez! Prenez au hasard quelques grandes artères de quelques-unes de nos villes, notamment Brazzaville, Pointe-Noire, Owando, Dolisie et Ouesso par exemple. Que se passe-t-il au niveau des croisements des rues avec des avebues comme celle de la Paix (Brazzaville), celle de la Révolution ( Pointe-Noire)? Des tas de saleté restent longtemps sans être ramasséset des populations prennent du plaisir à vendre des denrées de toute sorte aux abords de ces avenues et restent cependant indifférentes aux tas d'immondices qui s'y trouvent.