Santé : éradiquer les maladies infectieuses, c’est réduire le taux de mortalité

Le docteur Michel Mankou, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales en poste au  service des maladies infectieuses et parasitaires de l’hôpital général Adolphe Sicé à Pointe-Noire, l’a affirmé mardi 02 juillet lors d’un entretien avec les Dépêches de Brazzaville.

 

le docteur Michel MankouLes maladies infectieuses constituent aujourd’hui l’une des premières causes de mortalité chez les enfants et les jeunes adultes. Elles sont à l’origine de plusieurs millions de décès chaque année dans le monde surtout dans les pays en voie développement a t-il dit d’emblée.

Puis, il ajouté que, les maladies infectieuses ont une mortalité très lourde en Afrique subsaharienne notamment avec la présence du VIH/Sida qui regorge près de deux tiers du nombre total des patients « de toutes les maladies infectieuses, le VIH/Sida est la plus meurtrière, il tue plus que le paludisme et la Tuberculose ».

À l’hôpital général Adolphe Sicé, par exemple et plus précisément au service des maladies infectieuses, où travaille Michel Mankou, l’unique service des maladies infectieuses de la ville, le taux de mortalité tourne autour de 25 à 30%. Et chaque année, ce service reçoit environ 750 patients atteints du VIH/Sida, en dehors de ceux qui viennent par ambulatoire.

Pour le docteur Michel Mankou, certaines maladies infectieuses peuvent bien être évitées voire éradiquées avec le vaccin mais aussi par l’observation de certaines règles d’hygiène, comme cela fut le cas avec la variole par le passé «  je demande aux femmes de faire vacciner les enfants et d’observer les mesures d’hygiène afin d’éviter tout d’abord les maladies diarrhéiques, le paludisme et bien d’autres maladies infectieuses, première cause de mortalité chez les moins âgés », a-t-il suggéré

Le docteur Michel Mankou pense qu’en imposant la prise en charge gratuites pour les maladies les plus meurtrières comme le paludisme, la tuberculose et le VIH/Sida, la République du Congo a fait un bon choix et même un pas vers l’éradication des maladies infectieuses.

Toutefois rappelle t-il que, parmi les  maladies infectieuses enregistrées dans son service, l’infection du VIH/Sida, constitue la première cause de consultation et 54% sur 100% des patients ont le VIH/Sida.

Les maladies infectieuses constituent aujourd’hui l’une des premières causes de mortalité chez les enfants et les jeunes adultes. Elles sont à l’origine de plusieurs millions de décès chaque année dans le monde surtout dans les pays en voie développement a t-il dit d’emblée.

Puis, il ajouté que, les maladies infectieuses ont une mortalité très lourde en Afrique subsaharienne notamment avec la présence du VIH/Sida qui regorge près de deux tiers du nombre total des patients « de toutes les maladies infectieuses, le VIH/Sida est la plus meurtrière, il tue plus que le paludisme et la Tuberculose ».

À l’hôpital général Adolphe Sicé, par exemple et plus précisément au service des maladies infectieuses, où travaille Michel Mankou, l’unique service des maladies infectieuses de la ville, le taux de mortalité tourne autour de 25 à 30%. Et chaque année, ce service reçoit environ 750 patients atteints du VIH/Sida, en dehors de ceux qui viennent par ambulatoire.

Pour le docteur Michel Mankou, certaines maladies infectieuses peuvent bien être évitées voire éradiquées avec le vaccin mais aussi par l’observation de certaines règles d’hygiène, comme cela fut le cas avec la variole par le passé «  je demande aux femmes de faire vacciner les enfants et d’observer les mesures d’hygiène afin d’éviter tout d’abord les maladies diarrhéiques, le paludisme et bien d’autres maladies infectieuses, première cause de mortalité chez les moins âgés », a-t-il suggéré

Le docteur Michel Mankou pense qu’en imposant la prise en charge gratuites pour les maladies les plus meurtrières comme le paludisme, la tuberculose et le VIH/Sida, la République du Congo a fait un bon choix et même un pas vers l’éradication des maladies infectieuses.

Toutefois rappelle t-il que, parmi les  maladies infectieuses enregistrées dans son service, l’infection du VIH/Sida, constitue la première cause de consultation et 54% sur 100% des patients ont le VIH/Sida.

Les maladies infectieuses constituent aujourd’hui l’une des premières causes de mortalité chez les enfants et les jeunes adultes. Elles sont à l’origine de plusieurs millions de décès chaque année dans le monde surtout dans les pays en voie développement a t-il dit d’emblée.

Puis, il ajouté que, les maladies infectieuses ont une mortalité très lourde en Afrique subsaharienne notamment avec la présence du VIH/Sida qui regorge près de deux tiers du nombre total des patients « de toutes les maladies infectieuses, le VIH/Sida est la plus meurtrière, il tue plus que le paludisme et la Tuberculose ».

À l’hôpital général Adolphe Sicé, par exemple et plus précisément au service des maladies infectieuses, où travaille Michel Mankou, l’unique service des maladies infectieuses de la ville, le taux de mortalité tourne autour de 25 à 30%. Et chaque année, ce service reçoit environ 750 patients atteints du VIH/Sida, en dehors de ceux qui viennent par ambulatoire.

Pour le docteur Michel Mankou, certaines maladies infectieuses peuvent bien être évitées voire éradiquées avec le vaccin mais aussi par l’observation de certaines règles d’hygiène, comme cela fut le cas avec la variole par le passé «  je demande aux femmes de faire vacciner les enfants et d’observer les mesures d’hygiène afin d’éviter tout d’abord les maladies diarrhéiques, le paludisme et bien d’autres maladies infectieuses, première cause de mortalité chez les moins âgés », a-t-il suggéré

Le docteur Michel Mankou pense qu’en imposant la prise en charge gratuites pour les maladies les plus meurtrières comme le paludisme, la tuberculose et le VIH/Sida, la République du Congo a fait un bon choix et même un pas vers l’éradication des maladies infectieuses.

Toutefois rappelle t-il que, parmi les  maladies infectieuses enregistrées dans son service, l’infection du VIH/Sida, constitue la première cause de consultation et 54% sur 100% des patients ont le VIH/Sida.

Les maladies infectieuses constituent aujourd’hui l’une des premières causes de mortalité chez les enfants et les jeunes adultes. Elles sont à l’origine de plusieurs millions de décès chaque année dans le monde surtout dans les pays en voie développement a t-il dit d’emblée.

Puis, il ajouté que, les maladies infectieuses ont une mortalité très lourde en Afrique subsaharienne notamment avec la présence du VIH/Sida qui regorge près de deux tiers du nombre total des patients « de toutes les maladies infectieuses, le VIH/Sida est la plus meurtrière, il tue plus que le paludisme et la Tuberculose ».

À l’hôpital général Adolphe Sicé, par exemple et plus précisément au service des maladies infectieuses, où travaille Michel Mankou, l’unique service des maladies infectieuses de la ville, le taux de mortalité tourne autour de 25 à 30%. Et chaque année, ce service reçoit environ 750 patients atteints du VIH/Sida, en dehors de ceux qui viennent par ambulatoire.

Pour le docteur Michel Mankou, certaines maladies infectieuses peuvent bien être évitées voire éradiquées avec le vaccin mais aussi par l’observation de certaines règles d’hygiène, comme cela fut le cas avec la variole par le passé «  je demande aux femmes de faire vacciner les enfants et d’observer les mesures d’hygiène afin d’éviter tout d’abord les maladies diarrhéiques, le paludisme et bien d’autres maladies infectieuses, première cause de mortalité chez les moins âgés », a-t-il suggéré

Le docteur Michel Mankou pense qu’en imposant la prise en charge gratuites pour les maladies les plus meurtrières comme le paludisme, la tuberculose et le VIH/Sida, la République du Congo a fait un bon choix et même un pas vers l’éradication des maladies infectieuses.

Toutefois rappelle t-il que, parmi les  maladies infectieuses enregistrées dans son service, l’infection du VIH/Sida, constitue la première cause de consultation et 54% sur 100% des patients ont le VIH/Sida.

Hugues Prosper Mabonzo Bouelawaya
Légendes et crédits photo : 
le docteur Michel Mankou crédits ADIAC
05/07/2013 - 17:00