La cérémonie de remise de ces diplômes, patronnée par le ministre de l’enseignement technique, professionnelle et de la formation qualifiante, Antoine Nicéphore Thomas Fylla Saint-Eudes, a eu lieu à l’hôtel Olympic palace de Brazzaville
L’Institut technique de banque (ITB) branche du Cfpb représenté en République du Congo par Lilian Ndenguet, est une école du management dont les diplômes sont reconnus au plan international.
Le président de l’association des diplômés de l’ITB a profité de l’occasion pour remercier la délégation du Cfpb pour la qualité des enseignements dispensés. « Votre présence à la présente cérémonie de remise des diplômes des anciens étudiants de notre établissement, témoigne un intérêt particulier que vous attachez à l’amélioration de la qualité de la formation des cadres congolais dans le domaine bancaire. »
Prenant la parole à son tour, le directeur à l’international du Cfpb Alain Alaric, a précisé qu’au moins 100 apprenants ont été formés cette année au Congo-Brazzaville. Ils seront demain des cadres supérieurs de leurs établissements pour permettre d’évoluer et d’accompagner la progression d’industrie bancaire et financière pour accroître les compétitivités de leurs banques et de leurs établissements, et d’augmenter la rentabilité et la productivité.
« Notre présence à cette cérémonie témoigne de l’intérêt que nous portons à la formation, au capital humain et au partenariat avec le Cfpb. Soyez certains que la maison que je représente ce soir est fière de vous et continuera à s’engager à vos côtés pour continuer des formations encore plus loin, pour vos établissements et celles de vos banques. »
Il a fini son discours en paraphrasant Martin Luther King qui pensait que dans la société y compris dans les entreprises, toutes les personnes ont leur importance, vu que c’est la qualité du groupe qui fait la qualité de la société.
Le directeur général de la financière, Innocent Dimi, a centré son allocution sur deux volets. D’abord, il a invité les cadres et futurs hauts gradés du secteur financier du Congo à œuvrer au développement de leur secteur d’activités. Ensuite, il les a invité à une autre race, plus symbolique certes, mais tout aussi essentielle ; celle d’anthologie de mémoire et d’histoire, celle d’un grand économiste du Congo, Alexandre Gandou « doc ». Car, Dr en sciences économiques, respectivement directeur général de l’Union congolaise des banques (UCB), directeur de cabinet du ministre Rigobert Andely, président de la Cosumaf, père fondateur du marché financier sous régional et enfin président directeur général des cabinets Gandou Maréchal et associés. Amoureux de l’économie, analyste de renommé internationale, éducateur de conscience, formateur, il était pleins d’humour, de vie et d’envie pour son pays.
Enfin, il a exhorté les diplômés de la promotion Alexandre Gandou. « Vous êtes des financiers et non des caissiers, vous êtes des banquiers au sens le plus large du terme. Ne vous contentez pas d’être bons, mais d’être les meilleurs. Votre rigueur et votre professionnalisme ouvriront la brèche à des futurs nouveaux talents. Ne soyez pas avares de ce que vous avez appris dans votre formation, partagez, dispensez votre science... »
Peu avant la remise des diplômes, le ministre de l’enseignement technique et professionnel et de la formation qualifiante, a pris la parole en répétant les propos du président de l’université de Harvard qui disait : « Si vous pensez que l’éducation et la formation coûtent chères, essayez donc l’ignorance. » Par ces propos, il a voulu féliciter l’ensemble de la communauté bancaire qui a pris à cœur la formation professionnelle des banquiers et des jeunes banquiers qui devraient servir dans un environnement financier et économique très difficile.
Le diplôme de l’ITB est un diplôme professionnel qui répond à une double tutelle ; la tutelle du ministère de l’enseignement supérieur mais aussi la tutelle du ministère de l’enseignement professionnel et qualifiant. Aussi, il a souhaité au nom du gouvernement, qu’un centre permanent de l’ITB soit ouvert au Congo n’en pas seulement pour générer des diplômés, mais aussi pour assurer la formation continue de ceux qui ne peuvent pas accéder directement à l’ITB puisqu’il y a des titres obligatoires qui permettent aux potentiels diplômés de l’ITB de les avoir.
Enfin, il a invité tous les concernés de contribuer à ce que la formation professionnelle dans le secteur bancaire devienne pérenne et que le Congo ait un système bancaire solide pour avoir dorénavant des gens très bien formés.
Après la remise des diplômes aux lauréats des promotions 2010, Gilbert Ondongo ; ITB 2014, Alexandre Gandou ; ITB 2015, Bruno Jean Richard Itoua ; ITB 2016, Antoine Nicéphore Thomas Fylla Saint-Eudes ; et ITB 2017, Calixte Nganongo ; la représentante du Cfpb en Afrique de l’ouest et centrale, Laetitia Tartour, a pris la parole tout en indiquant que cette cérémonie restera inoubliable pour elle, car c’est la première cérémonie à laquelle elle assiste en tant que responsable de la zone subsaharienne pour le Cfpb. Le poste qu’elle occupe aujourd‘hui lui permet de couvrir 17 pays d’Afrique de l’ouest et centrale.
Elle s’est engagée à travailler ensemble efficacement pour le développement et la grandeur du secteur éducatif congolais. Puis a félicité les diplômés ITB qui seront les meilleurs ambassadeurs de l’école supérieure de la banque et de leurs établissements bancaires respectifs. Avant de remercier le ministre de l’enseignement technique, professionnel et de la formation qualifiante, ainsi que le représentant du Cfpb au Congo Lilian Ndenguet, qui s’investit auprès des apprenants Cfpb pour les encadrer et les accompagner dans leur formation.
L’Institut technique de banque (ITB) branche du Cfpb représenté en République du Congo par Lilian Ndenguet, est une école du management dont les diplômes sont reconnus au plan international.
Le président de l’association des diplômés de l’ITB a profité de l’occasion pour remercier la délégation du Cfpb pour la qualité des enseignements dispensés. « Votre présence à la présente cérémonie de remise des diplômes des anciens étudiants de notre établissement, témoigne un intérêt particulier que vous attachez à l’amélioration de la qualité de la formation des cadres congolais dans le domaine bancaire. »
Prenant la parole à son tour, le directeur à l’international du Cfpb Alain Alaric, a précisé qu’au moins 100 apprenants ont été formés cette année au Congo-Brazzaville. Ils seront demain des cadres supérieurs de leurs établissements pour permettre d’évoluer et d’accompagner la progression d’industrie bancaire et financière pour accroître les compétitivités de leurs banques et de leurs établissements, et d’augmenter la rentabilité et la productivité.
« Notre présence à cette cérémonie témoigne de l’intérêt que nous portons à la formation, au capital humain et au partenariat avec le Cfpb. Soyez certains que la maison que je représente ce soir est fière de vous et continuera à s’engager à vos côtés pour continuer des formations encore plus loin, pour vos établissements et celles de vos banques. »
Il a fini son discours en paraphrasant Martin Luther King qui pensait que dans la société y compris dans les entreprises, toutes les personnes ont leur importance, vu que c’est la qualité du groupe qui fait la qualité de la société.
Le directeur général de la financière, Innocent Dimi, a centré son allocution sur deux volets. D’abord, il a invité les cadres et futurs hauts gradés du secteur financier du Congo à œuvrer au développement de leur secteur d’activités. Ensuite, il les a invité à une autre race, plus symbolique certes, mais tout aussi essentielle ; celle d’anthologie de mémoire et d’histoire, celle d’un grand économiste du Congo, Alexandre Gandou « doc ». Car, Dr en sciences économiques, respectivement directeur général de l’Union congolaise des banques (UCB), directeur de cabinet du ministre Rigobert Andely, président de la Cosumaf, père fondateur du marché financier sous régional et enfin président directeur général des cabinets Gandou Maréchal et associés. Amoureux de l’économie, analyste de renommé internationale, éducateur de conscience, formateur, il était pleins d’humour, de vie et d’envie pour son pays.
Enfin, il a exhorté les diplômés de la promotion Alexandre Gandou. « Vous êtes des financiers et non des caissiers, vous êtes des banquiers au sens le plus large du terme. Ne vous contentez pas d’être bons, mais d’être les meilleurs. Votre rigueur et votre professionnalisme ouvriront la brèche à des futurs nouveaux talents. Ne soyez pas avares de ce que vous avez appris dans votre formation, partagez, dispensez votre science... »
Peu avant la remise des diplômes, le ministre de l’enseignement technique et professionnel et de la formation qualifiante, a pris la parole en répétant les propos du président de l’université de Harvard qui disait : « Si vous pensez que l’éducation et la formation coûtent chères, essayez donc l’ignorance. » Par ces propos, il a voulu féliciter l’ensemble de la communauté bancaire qui a pris à cœur la formation professionnelle des banquiers et des jeunes banquiers qui devraient servir dans un environnement financier et économique très difficile.
Le diplôme de l’ITB est un diplôme professionnel qui répond à une double tutelle ; la tutelle du ministère de l’enseignement supérieur mais aussi la tutelle du ministère de l’enseignement professionnel et qualifiant. Aussi, il a souhaité au nom du gouvernement, qu’un centre permanent de l’ITB soit ouvert au Congo n’en pas seulement pour générer des diplômés, mais aussi pour assurer la formation continue de ceux qui ne peuvent pas accéder directement à l’ITB puisqu’il y a des titres obligatoires qui permettent aux potentiels diplômés de l’ITB de les avoir.
Enfin, il a invité tous les concernés de contribuer à ce que la formation professionnelle dans le secteur bancaire devienne pérenne et que le Congo ait un système bancaire solide pour avoir dorénavant des gens très bien formés.
Après la remise des diplômes aux lauréats des promotions 2010, Gilbert Ondongo ; ITB 2014, Alexandre Gandou ; ITB 2015, Bruno Jean Richard Itoua ; ITB 2016, Antoine Nicéphore Thomas Fylla Saint-Eudes ; et ITB 2017, Calixte Nganongo ; la représentante du Cfpb en Afrique de l’ouest et centrale, Laetitia Tartour, a pris la parole tout en indiquant que cette cérémonie restera inoubliable pour elle, car c’est la première cérémonie à laquelle elle assiste en tant que responsable de la zone subsaharienne pour le Cfpb. Le poste qu’elle occupe aujourd‘hui lui permet de couvrir 17 pays d’Afrique de l’ouest et centrale.
Elle s’est engagée à travailler ensemble efficacement pour le développement et la grandeur du secteur éducatif congolais. Puis a félicité les diplômés ITB qui seront les meilleurs ambassadeurs de l’école supérieure de la banque et de leurs établissements bancaires respectifs. Avant de remercier le ministre de l’enseignement technique, professionnel et de la formation qualifiante, ainsi que le représentant du Cfpb au Congo Lilian Ndenguet, qui s’investit auprès des apprenants Cfpb pour les encadrer et les accompagner dans leur formation.