Quand Al Gore, challenger malheureux à la Maison Blanche en son temps, avait tiré la sonnette d’alarme personne n’avait pris son propos avec considération. Aujourd'hui, la communauté internationale s’affaire pour trouver des solutions adéquates à cette préoccupation, les pays du sud payant cash les méfaits d’une industrialisation sauvage orchestrée par les pays du nord. Mais l’heure est à trouver des thérapeutiques idoines, le réchauffement climatique étant une affaire universelle. Si l’année 2015 était la plus chaude qu’est connue l’humanité, après la période xérique, les prévisions pour cette année ne sont pas plus reluisantes. Que faire pour endiguer cela ? Voilà une question sensée.
Moult fois, la conscience collective est interpellée aux moyens des COP pour trouver un motif à préserver notre chère terre, les discours de bonnes intentions ne suffisent plus. Il faut agir sur le terrain.
Aussi, les mots de Ségolène Royal à Marrakech viennent-ils remettre l’humanité devant sa responsabilité car la facture a payé est immense. Il est nécessaire de trouver des solutions pour le futur. Voilà ce à quoi il faut s’atteler. Faire une justice climatique raisonnable. Ainsi, nous osons croire que les grandes puissances prendront la mesure de la chose. La disparition des glaciers dans les zones tempérées et le réchauffement des fonds marins ne rendent pas la tâche facile. Le tableau est sombre.
Enfin, il est urgent de trouver des solutions négociées, courageuses, concertées pour faire valoir la cause humaine. Après des signaux forts, il faut des actes courageux pour prétendre à des résultats meilleurs. Une bonne conscience climatique s’impose.